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Influence du diamètre des boules

Plus le diamètre d'une boule est important et moins le poignet devient mobile lors du lâcher (environ 5 degrés). Cela réduit d'autant le coup de main. Une grosse boule sera plus avantageuse car avalera mieux les gravillons, pierres, brindilles etc... sur son parcours.

Le carreau

Le carreau, dépend uniquement de l'équilibre entre les forces de la boule tirée et de la boule cible, il dépend de l'angle selon lequel est abordée la cible.

On peut donc faire des carreaux sans donner de rotation à la boule.

Choix du meneur du jeu

L'équipe devra accorder à l'un des trois joueurs sa confiance pour diriger le jeu. Le choix de ce meneur de jeu est déterminant pour la bonne marche des rencontres. Sans meneur, l'équipe risque de se trouver en permanence dans un chaos décisionnel qui conduit fatalement à des tensions. Cette absence de capitaine d'équipe est souvent à l'origine des défaites. 

Le froid et l'eau

Par grand froid, ou sous des trombes d'eau, on est obligé de modifier ses choix tactiques et d'user du tir avec parcimonie. Dans ces conditions difficiles, géné par les couches de vêtements successives, on perd de l'adresse et on est obligé d'en tenir compte.

Boules au point

Pour le point, à part sur les terrains en pente, une grosse boule sera plus avantageuse car elle avalera mieux les gravillons, pierres, brindilles etc... sur son parcours.

L'ombre et la lumière

Il est très fréquent de jouer sur un  « jeu » partagé entre l’ombre & le soleil. En soirée, cette même situation se retrouve lorsque l’éclairage électrique propose des zones très bien éclairées & d’autres plus sombres…L’équipe la plus faible, ou considérée comme telle, a tout intérêt à « faire le rond » au soleil & envoyer le but dans l’ombre…
Les différences de luminosité ou d’éclairage rendent plus difficiles les appréciations visuelles & peuvent entraîner des erreurs au point comme au tir.
Cela dit, il n’est pas impossible que vous soyez pris à votre propre piège. Mais lorsque, en principe, vous êtes moins fort, vous avez tout intérêt à rechercher « l’inhabituel » qui peut provoquer des maladresses inattendues…

(Source Gérard NAUDO)

Quand ça va mal on freine…Quand ça va bien on accélère le rythme.

Quand « tout baigne », jouez donc rapidement.

Ne perdez pas de temps pour lancer le but, pour ramasser vos boules, pour contrôler votre donnée, pour vous décider tactiquement…Mais bien entendu sans aucune précipitation !
Evitez par exemple de jeter le but près des limites autorisées (6 à 10 mètres), ce qui pourrait donner l’occasion à vos adversaires « d’arrêter la partie » en appelant l’arbitre.

Voici une combine pour arrêter une partie : elle consiste à mettre en doute la validité du jet du but. « Y-a plus de 10 mètres ! » ou « Y-a moins de 6 mètres »… « Allez chercher l’arbitre ! »…Et les voilà partis au graphique, votre partie est arrêtée une bonne dizaine de minute. L’ennui, lorsqu’elle va reprendre, c’est qu’elle n’aura peut-être pas la même physionomie, ça risque d'être tendu.

(Source Gérard NAUDO)

Le jet du but

Ne jamais jeter le bouchon là où votre adversaire vous a amené. Ne jamais l’envoyer à l’endroit ou précédemment vous n’avez pas marqué.
Votre équipe est malmenée (12-1 en 13 par exemple), envoyez à 6 mètres, car c’est sur les courtes distances que l’on peut faire des grosses mènes.
Vous avez 12, vos adversaires 4 ou 5, envoyez à 10 mètres où le fait de pointer en premier est un avantage, alors qu’à 6 mètres c’est un inconvénient.
Dans les terrains délimités, si votre adversaire a 12, envoyez le but près de la « perte ». Si la mène se présente mal, il vous sera plus facile d’annuler.
Si votre tireur frappe régulièrement à une certaine distance, ne variez pas vos lancers de but tant que vous marquez.

(source : Gérard NAUDO)

Choix du terrain

Si votre pointeur aime « faire rouler », choisissez un terrain plat & sablonneux. S’il préfère « porter sa boule » envoyez le but dans le dur, dans le caillouteux.
Si votre tireur a tendance à « tirer devant », recherchez le sablonneux, et le dur s’il tire au fer…

(source : Gérard NAUDO)

La gagne à tout prix ?

Tout dépend de la situation dans laquelle on se trouve…
Vous menez 10 à 2. Vous pouvez facilement faire 2 points. Faîtes les, et ne cherchez pas à gagner en tentant un exploit qui vous vaudrait peut-être la gagne, mais qui pourrait aussi, en cas d’échec, laisser la marque à l’adversaire…
Par contre, si vous êtes 10 à 10 face à une équipe en principe plus forte que la vôtre, jouez la gagne à tout prix, car elle risque de ne plus se représenter.

(source : Gérard NAUDO)

Tirer à 6 mètres…Pointer à 10 !

Attention ! ça n’est pas là une règle d’or. Toutefois, si aucune tactique franche ne se dégage vraiment, choisissez le tir dans les courtes distances, et le point dans les distances plus longues…

(source : Gérard NAUDO)

​Le tir de précision

Le tir de précision a été conçue par le Belge Roger Peetermans et le Suisse Claude Keberlé et testée pour la 1ère fois au Bol d'Or de Genève en février 2000.

Marco Foyot

6 fois vainqueur de la Marseillaise dont un triplé en 74/75/76 avec Authieu - Mélis et un doublé en 83/84 avec Kokoyan et Lucchesi. Dernière victoire en 2002.

Invention de la pétanque

A la Ciotat un champion de Provencal ne pouvant plus y jouer à cause de rhumatismes, a envoyé le but à 6m les pieds tanqués dans un rond. La Pétanque était née.

Christian Fazzino

En 1995, Fazzino devient co-recordman mondial de tirs accélérés (autre détenteur: Philippe Quintais), avec 992 boules tirées sur 1000, en 55 min 11 s à Millau.

Entraînement au tir

Contrairement à ce qu'on pense, il ne faut pas s'entraîner à tirer à 6, 7, 8, 9 mètres mais faire varier brutalement les distances de tirs 6 à 9 puis 7 à 10 m.

Rectifier sa frappe

Ce qui fera remédier au fait de frapper à gauche ou à droite de la cible est d'orienter différemment les appuis. Si on manque à gauche on s'oriente à droite.

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